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Pourquoi intégrer le live dans sa stratégie de communication ?

Le live streaming est devenu un format incontournable pour toute marque qui souhaite captiver les esprits et marquer leur auditoire. Ce format s’impose de façon centrale, dans la communication corporate, dans la communication financière et stratégique, et de plus en plus, comme pièce maîtresse, des contenus à forte valeur ajoutée des marques, quel qu’en soit le sujet traité. C’est donc important d’utiliser le live pour sa stratégie de communication en tant que marque.

 

Mais pourquoi ce format s’impose-t-il ? Qu’est ce qu’un bon live, et comment doit-il être envisagé par les marques ? Quelles opportunités cette petite révolution fait peser sur les marques et comment s’en saisir ?

Tout est détaillé dans cet article.

1) Le LiveStreaming est une révolution induite par le Covid-19

A) Les plus gros événements du monde ont toujours été en Live

Au cours des trois dernières années, vous avez forcément pu assister à de la communication en direct. Poussées par le besoin de communiquer, et par l’impossibilité de le faire par l’événementiel traditionnel, les entreprises et les institutions se sont naturellement orientées vers des solutions de live streaming. Ce format audiovisuel, de façon générale employé par la télévision, s’est retrouvé à s’imposer comme une pièce centrale de la communication stratégique et corporate, sur internet.


Et c’est logique, qu’il en soit ainsi. Le Live Streaming, c’est par excellence, la distribution, One-To-Many, d’un contenu, d’une expertise, dans des codes de fabrication qui maximisent l’attention et la rétention de l’information. C’est un mode de distribution qui prend acte des nouvelles technologies de distribution, et qui permet à des utilisateurs dans le monde entier d’accéder à du contenu, depuis n’importe où sur la planète, en utilisant des outils, qu’ils ont tous dans leurs poches, et leurs attachés case. Pratique, en cas de pandémie mondiale, de confinement, ou de restrictions de déplacements. Alors, est-ce à dire, que le Live Streaming, n’était pertinent que pour cette courte page de notre histoire ? Qu’en post-covid, il est naturel qu’il disparaisse, pour laisser sa place à nouveau, au format événementiel traditionnel ? Pas si sûr. 


Le Live Streaming pour sa stratégie de communication doit prendre une place centrale pour les entreprises, pour plusieurs raisons. Voici la première : tout ce qui compte, est toujours traité en direct.


Les événements en live sont ceux les plus regardés à la TV. Les plus grosses audiences de tous les temps sont en live : concerts d’Elvis Presley, mariage de Kate et William, ouverture des JO, finale de la coupe du monde…

B) Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela raconte quelque chose, et de plutôt simple. Tout ce qui est important, qui génère de l’intérêt massif et qui intéresse vraiment est toujours traité en direct. Car personne n’aime se faire spoiler le score d’un événement sportif. Personne n’aime être déclassé, et découvrir l’information après des autres. Nous sommes tous des êtres sociaux, animés par notre besoin d’appartenance, de partage avec nos congénères. Nous souhaitons tous et toujours, ne rien rater de l’instant présent. 

 

 

Ces faits sont établis, et sont démontrés depuis 70 ans à la télévision. Le Livestreaming, vient seulement entériner cet état de faits. Ce n’est qu’un prolongement logique, qui repose sur des avancées technologiques et la chute de barrières à la consommation, et qui reproduit les mêmes phénomènes, sur un autre canal de distribution. Le direct étant à la fois, un mode de distribution et un mode de production, il est selon moi intéressant de se demander également, en quoi, la façon de fabriquer des directs, est pertinente pour servir des objectifs de communication corporate. 

 

Et la réponse est simple, le direct est captivant. 

2) Le Live est un format captivant

A) Qu'est-ce qu'un live captivant ?

Le live pour sa stratégie de communication est un format captivant et peut être démontré à travers la statistique suivante. Selon une étude Forrester, les watchtimes moyens d’un direct, sont en général 15 fois supérieurs à une vidéo post-produite. 

Evidemment cela s’explique d’abord et avant tout, par les arguments cités précédemment. On vient consommer un direct, à un instant T, car on souhaite capturer l’instant. Par conséquent, on y passe plus de temps, que pour une vidéo X ou Y qu’on aurait découvert par sérendipité. Mais la recette magique du direct relève aussi de sa façon d’être fabriqué. 


Pour résumer, un direct, c’est un contenu, ou plutôt un format, qui mélange des expertises aussi variées que : l’écriture éditoriale, le graphisme, la réalisation vidéo, le décors, la lumière, le son, la technique vidéo… Bref, tout un ensemble d’expertises, coordonnées dans le but de créer un livrable de haute qualité.  Les boîtes de production mettent donc en place des ressources colossales, afin de créer  des dispositifs complets, dédiés à la capture de l’esprit.

B) Comment faire un live captivant ?

 Le but d’un live est de formater de l’information. L’enrichir avec une grande diversité de plans, des graphismes, des éléments sonores, des bascules de lumières… Bref, tout un ensemble de fonctionnalités, visibles et invisibles, pour alimenter en permanence le cerveau de l’audience, et maximiser à la fois son attention, et sa rétention d’information. Si l’on transpose cela avec les enjeux de la communication et du marketing, on arrive assez facilement à relier les points, et à comprendre la place stratégique que peut occuper le direct, dans la stratégie des marques.

 

 

Sauf qu’évidemment, comme pour toute création visuelle, un direct peut être fabriqué, avec un niveau de compétences et d’aboutissement variable. 

 

On peut payer 1 Million d’euros un logo auprès d’une grande agence, d’un directeur artistique et d’un concepteur rédacteur, comme on peut s’en faire créer un à 12€50, en passant par la fille du voisin en première année de graphisme. Pour le direct c’est pareil. Puisqu’il est à la fois, un mot qui décrit, un mode de distribution, et un mode de fabrication. Il n’est donc pas rare de voir le mot galvaudé, et employé à tort et à travers, pour décrire l’un ou l’autre de ces concepts, sans en faire la synthèse des deux.

 

 

Alors que c’est le diable qui se cache dans les détails.

3) Livestreaming : un mot, plusieurs réalités

L’image ci-dessous est un Live Streaming. C’est bien un flux vidéo, encodé et distribué en direct à des utilisateurs, via la fonctionnalité Direct de Youtube. Un homme seul, avec du matériel discutable, un axe caméra mal travaillé, une image de qualité dégradée, et pourtant, c’est un livestreaming. 

Mauvaise qualité d'un live

Ceci est également un Live Streaming :

Live Streaming Eleven All Stars

Le ELEVEN ALL STARS. 1,3 Millions de spectateurs connectés, des centaines de milliers, voire des millions d’euros de budget. Des dizaines de techniciens, un car régie, 25 Caméras, des équipes de télévision. Et à la fin, c’est un Live Streaming. Des utilisateurs chez eux, qui reçoivent un flux, et le consomment depuis la fonctionnalité de direct, de la plateforme Twitch. 

 

Sur la base de cet exemple, je pense qu’on comprend facilement le distingo, et pourtant, le mot LiveStreaming, ou Direct, qui là, décrit un mode de distribution, est valide pour les deux contenus. 

 

Il est donc important, pour vous qui souhaitez mettre en place ce mode de communication, de bien comprendre que toutes les offres de direct ne se valent pas. Que la clé, lors de la production d’un direct, ne réside pas que dans sa distribution, mais surtout et avant tout dans sa fabrication. Le live pour sa stratégie de communication doit donc être travaillé pour captiver son audience.

4) De la nécessité de faire un live de qualité

A) Les spectateurs n'aiment pas les lives de mauvaise qualité

Voici une statistique très parlante, pour illustrer ce propos :  8 utilisateurs sur 10 se disent prêts à quitter un direct, si la qualité audiovisuelle n’est pas au rendez-vous. Rien de pire que de subir un programme avec un son dégradé et une réalisation peu dynamique. Bref, avec une émission de basse qualité. La clé de l’impact réside donc en deux points. La bonne distribution, et surtout, la bonne fabrication. Et quand on y pense, c’est entièrement logique. Et cela s’explique par deux phénomènes.

C’est l’augmentation perpétuelle des attentes des spectateurs. Les codes de réalisation télévisuels, la qualité des contenus qu’on a tous l’habitude de consommer est en permanence enrichie, développée, améliorée… Le tout effectué par des professionnels spécialisés du secteur. Les outils vidéo s’améliorent, les capacités de traitement vidéo des télévisions, des ordinateurs et téléphones également. Bref, on assiste à une montée en puissance progressive sur la qualité des contenus, qui laisse une trace indélébile dans le cerveau et le cœur des gens. 

 

C’est d’ailleurs si peu palpable, qu’on ne s’en rend même plus compte. Quand vous visionnez une réalisation télévisuelle, vous ne vous dites pas « Tiens qu’est-ce que c’était bien réalisé”. “Qu’est-ce que les graphismes étaient jolis”. “Que les gens étaient bien éclairés.” “Que le son était de bonne qualité.” Non, vous consommez, vous appréciez le moment, et vous remerciez tout le travail effectué, simplement en ne changeant pas de chaine et en allant jusqu’au bout. 

Et cela se renforce, encore et toujours. On se divertit avec des contenus Netflix hyper produits. C’est pareil pour les films, qui intègrent des effets spéciaux phénoménaux. Les événements que l’on regarde sont réalisés avec des moyens pharaoniques. Les niveaux d’aboutissement technologiques et esthétiques sont extraordinaires. On a développé un standard de qualité hyper élevé, sans même s’en rendre compte.  

B) Que faut-il en conclure en tant que marque ?

Tout simplement, qu’on a tous collectivement pris en mémoire, ces standards. Pour toucher les esprits, pour donner envie aux gens, de rester captivés par notre contenu de marque, on se doit de relever la barre. Donc il est important de ne pas accepter de produire des directs avec des codes dégradés. Car on ne se dit jamais, “Qu’est-ce que c’était bien réalisé”. En revanche, on se dit facilement, “Tiens qu’est-ce que c’était moche”, lorsqu’un contenu nous déplait. Et lorsque c’est le cas, on le sanctionne. On se déconnecte du propos. Et même pire, on zappe. 

 

Alors la question clé est donc : Comment produire une émission en direct de qualité TV ? Vous me voyez venir je suppose : en faisant appel à Oopercast

 

Au-delà de ce petit instant publicitaire, il est crucial de confier la production de vos directs, à des équipes formées.  Cela ne vous viendrait pas à l’esprit, de faire faire vos buffets traiteurs, par une société de sandwich triangulaire. Cependant, dans la fabrication du direct, c’est open bar. On voit des sociétés événementielles, s’inventer boîte de production.   

 

Bref, comme le format a eu le vent en poupe, on a vu des centaines d’offres inonder le marché. Le tout proposé par des sociétés qui n’ont pas d’appétences particulières pour le format à la base. C’est donc une aberration absolue. Le direct est un exercice complexe, qui en télévision, demande les équipes les plus robustes, avec une expertise pointue. Cette expertise s’étend des outils de fabrication aux modes d’écriture. 

 

Donc si vous ne passez par Oopercast, passez au moins par nos confrères, qui ont une réelle appétence, et une expertise sur ce format si particulier. 

5) Le Live pour sa stratégie de communication : une formidable opportunité pour les marques

Parce qu’une fois qu’on a posé le constat, il fait parler des solutions, et des bonnes nouvelles.

 

Deux choses : 

-Les compétences télévisuelles ont migrées, et sont maintenant entièrement disponible, à ceux qui savent les sourcer. Il est fini le temps, du cloisonnement, ou la télé ne se faisait qu’à la télé. Aujourd’hui, les compétences clés nécessaires à la fabrication d’un programme à forte valeur ajoutée sont disponibles.

-Un downsizing majeur des technologies est en cours. Les outils, avant extrêmement coûteux, et lourds, sont remplacés petit à petit, par du matériel d’une puissance et d’une qualité équivalente, mais beaucoup plus accessible financièrement. 

 

Donc quand on met les deux bout à bout, ça donne tout simplement des programmes dignes d’une diffusion web, mais distribués sur le web. 

 

Et à des coûts accessibles. 

6) La conclusion sur le Live

Si on résume, le constat est le suivant.

 

Tout ce qui compte, à toujours été traité en direct. Le direct fédère, le direct passionne, et donne des watchtimes phénoménaux. Mais pour ce faire, le direct se doit, d’être vu, comme un vrai bel objet. Les attentes de qualités et les standards attendus par l’audience sont toujours plus élevés. Donc pour se démarquer, une marque doit investir dans des réalisations de qualité télévisuelle. 

 

La bonne nouvelle réside en deux points : 

– Les compétences clés nécessaires à le faire, deviennent accessibles aux acteurs du web

– Et le downsizing des technologies, induisent une meilleure accessibilité, et des coûts moins élevés qu’auparavant. 

 

Bref, ça commence à sentir bon l’écosystème vertueux. Et à toute marque qui souhaiterait s’engager dans cette démarche : Oopercast est là, pour vous guider dans votre live pour votre stratégie de communication.

En prenant en compte tous ces aspects, vous pouvez être sûrs que votre événement en direct sera de qualité et que votre audience sera engagée.
Si vous avez besoin de plus d’informations pour réaliser un événement en direct, n’hésitez pas à nous contacter !

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